jeudi 23 mai 2013

La déesse des petites victoires, Yannick Grannec


4ème de couverture:
Université de Princeton, 1980. Anna Roth, jeune documentaliste sans ambition, se voit confier la tâche de récupérer les archives de Kurt Gödel, le plus fascinant et hermétique mathématicien du XXe siècle.
Sa mission consiste à apprivoiser la veuve du grand homme, une mégère notoire qui semble exercer une vengeance tardive contre l’establishment en refusant de céder les documents d’une incommensurable valeur scientifique.
Dès la première rencontre, Adèle voit clair dans le jeu d’Anna. Contre toute attente, elle ne la rejette pas mais impose ses règles. La vieille femme sait qu’elle va bientôt mourir, et il lui reste une histoire à raconter, une histoire que personne n’a jamais voulu entendre. De la Vienne flamboyante des années 1930 au Princeton de l’après-guerre ; de l’Anschluss au maccarthysme ; de la fin de l’idéal positiviste à l’avènement de l’arme nucléaire, Anna découvre le parcours d'une femme confrontée toute sa vie à une équation impossible entre le génie, l'amour et la folie.

Avis:
Je ne suis pas très inspirée pour vous donner un avis éclairé. Je n'ai pas beaucoup aimé ce livre car les sentiments qu'on y retrouve ne m'inspirent pas. Beaucoup d'incompréhension, de solitude, de lâcheté...le quotidien de l'Humanité, même si c'est avant tout une histoire d'amour, mais bien triste je trouve.
En plus, les quelques pages de démonstrations mathématiques m'ont replongé 10 ans en arrière et m'ont laissé dans la même perplexité qu'à cette époque.
Conclusion, je ne recommande pas ce livre.

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